MON ROMAN

23 mars 2017

5 - L'ultime plaisir des sens [ Book Trailer ]



EXTRAITS DU LIVRE

7 févr. 2017

4 - L' ultime plaisir des sens [extraits du livre]



Présentation du roman

25 janv. 2017

CHEMIN DE VIE.../ COMMUNIQUE DE PRESSE

Un chagrin d’amour ? Tout le monde l’a déjà vécu, le vit, ou le vivra au moins une fois au cours de sa vie.
Elysabeth a choisi de raconter les tourments et déboires que chacun connaît lors de déceptions amoureuses. Elle parle aussi des différentes manières dont on peut les gérer : écriture, évasion, imaginaire…
Ainsi les mots remplacent les maux et les souffrances deviennent de lointains souvenirs pour laisser place à de belles émotions.

Un vrai roman-thérapie mêlé à de l’intrigue, de l’humour… mais surtout beaucoup d”amour !

Ce roman est un miroir introspectif de chacun d’entre nous.


L’ultime plaisir des sens de Elysabeth Van Hollebeke.


                   

                http://www.communique-de-presse-gratuit.com/elysabeth/135998-lultime-plaisir-des-sens-de-elysabeth-van-hollebeke-intrigue-humour-amour-et-sensualite.html
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21 janv. 2017

Extrait 4 du tome 2:"La renaissance"


  Cela fait quatre semaines aujourd’hui... 

  ...que j’ai repris conscience, et cela me donnait le droit au fauteuil roulant pour me déplacer. Je pouvais enfin prendre l’air et me réchauffer un peu au soleil. J’avais aussi soutiré à une infirmière des informations concernant Carter. Elle serait semblait-il en ce même hôpital pour des soins particuliers. 

10 avr. 2016

Extrait 3 du tome 2: "La renaissance"

... Je sentais mes sens en éveil.

Mon rêve ne devait plus être très loin. J’entendis subitement :
— Auriez-vous du feu, s’il vous plaît ?
Je lui offris mon briquet. Elle me fusilla du regard en me jetant un merci accompagné d’un :
— Si j’étais vous, je n’accorderais pas ma vie à signer mes rêves !

9 avr. 2016

Extrait 2 du tome 2 "La renaissance"

œil vert d' Elysabeth Van Hollebeke
Elysabeth Van Hollebeke
... Je me souvins de ce matin-là. Je m’étais réveillée entre les murs blancs d’une unité de soins intensifs où les bips bip de la machine à laquelle j’étais reliée tranchaient ce silence mortuaire. Des formes vaporeuses s’agitaient autour de moi. Ma mémoire était vidée de tout souvenir. Pourtant,